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Le Clémenceau : pour rétablir la vérité :


Extrait d’une note de Michèle ALLIOT-MARIE, Ministre de la Défense

 

 

Une fois l’écume médiatique retombée, il convient de rétablir la réalité des faits, qui ont trop souvent été l’objet de contrevérités orchestrées."

 

Faute de solution européenne aujourd’hui existante, il s’agissait d’élaborer un véritable partenariat avec une grande Nation, l’Inde, décidée à moderniser et à qualifier son industrie. La société de démantèlement indienne à Alang, offrait des garanties sans précédents en termes de certifications internationales (ISO 9001 pour la qualité du management ; ISO 14001 pour le respect de l’environnement ; et OHSAS 18001, pour les conditions de sécurité et de santé des travailleurs).

Une expertise indépendante devait contrôler régulièrement le chantier et le respect des normes européennes et internationales,

En outre, nous avions proposé d’assurer un contrôle médical des 30 à 60 travailleurs indiens intervenant sur le désamiantage, qui devait être effectué avant, pendant et après le chantier.

 

Nous sommes loin des allégations propagées ou relayées par les journalistes qui n’ont pas daigné en vérifier la véracité.

 

Je tiens à rappeler que, comme cela a été depuis confirmé notamment par le Président de l’Institut français de la Mer, les images diffusées dans la presse ne sont pas celles de ce chantier, et qu’elles ne correspondent en rien à la réalité. Pourquoi les journalistes ont-ils menti ? pour faire un scoop ? pauvres types !

 

Notre projet reposait sur un véritable partenariat avec l’Inde. Il était un modèle de coopération Nord / Sud, basé sur le respect mutuel et prévoyait la formation des travailleurs indiens en France, et un transfert de technologie, de savoir-faire et d’équipements.

 

Il est faux et injurieux d’imaginer que nous aurions pu choisir de mettre en danger la sécurité des travailleurs indiens.J’entends parfois dire qu’il faudrait aujourd’hui s’excuser. Or, on ne doit s’excuser que lorsqu’on a commis une faute. Et ce n’est pas le cas.

 

La France a voulu attirer l’attention sur un problème majeur, elle a voulu montrer un chemin.

Faut-il toujours se résigner à l’inaction plutôt que prendre le risque d’une solution innovante ?

 

Je note que depuis la décision du Conseil d’Etat, une plus grande place est laissée à ceux qui affirment que la France avait fournis des efforts inédits en matière de respect de l’environnement. Je regrette qu’on ne leur ait pas permis de s’exprimer plus fort et plus tôt.

 

Quand des associations écologistes, comme Robin des Bois, se félicitent de ce que leur pays soit le seul au monde à se donner les moyens d’un démantèlement respectueux de l’environnement, personne ne les entend, personne ne les écoute. Quand Greenpeace, sous prétexte de solder ses comptes avec la Défense, vient dénigrer les choix de la France dans une campagne médiatique internationale, on l’écoute, on lui ouvre toutes les tribunes, toutes les colonnes.

(Greenpeace a déjà plus d'une fois lutté contre l'intérêt de l'écologie par calcul ou par bétise on ne sait pas mais le fait est)

Comme si reconnaître nos efforts, comme si être fiers de nos actions, était tabou, suspect, impensable, impossible.


Michèle ALLIOT-MARIE, Ministre de la Défense

Souriez, la France gagne...
D>

Les commentaires en italique et en bleu sont du traducteur et n'engagent aucunement sa responsabilité ni celle de ses voisins.

Le seul tribunal con-et-pétant irrévocable est celui des flagrants-délires.

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